Combiner judicieusement le travail et le repos et protéger les travailleurs dans leur travail, ce sont les exigences intrinsèques du régime socialiste de la Corée où l’homme est considéré comme le plus précieux. Cela est défini sur tous les plans dans la Loi du travail socialiste.
A travers la journée de travail de huit heures, le congé payé, le repos et le congé de convalescence payé par l’Etat et l’extension croissante des différents réseaux d’établissements culturels, la RPDC assure aux travailleurs le repos suffisant pour qu’ils se remettent de leurs fatigues dues au travail.
La durée de la journée de travail est fixée pour 8 heures et le travail supplémentaire est interdit. Selon l’intensité et la particularité du travail, la journée de travail de 7 ou 6 heures est appliquée, et pour les femmes ayant plus de 3 enfants, la journée de travail de 6 heures.
Les travailleurs ont droit au repo les jours fériés définis par l’Etat et le dimanche. Si les travailleurs travaillent le jour férié en cas de nécessité, on leur assure dans un délai d’une semaine un congé compensatoire.
Les travailleurs prennent annuellement le congé périodique de 14 jours et, selon le métier (travail difficile et pénible comme le travail à haute température et le travail nocif), un congé supplémentaire de 7 à 21 jours. Les femmes bénéficient, sans égard à l’ancienneté de travail, du congé de maternité à part le congé périodique et le congé supplémentaire.
L’Etat étend sous diverses formes les réseaux de maisons de convalescence et de maisons de repos, en améliore les installations et organise activement le tourisme, satisfaisant ainsi les besoins croissants des travailleurs en repos culturel. Surtout, il encourage les organismes et les entreprises publics concernés à gérer efficacement les maisons de convalescence de sorte que les travailleurs se reposent suffisamment.