Le Président Kim Il Sung a dit :
« L’appréciation donnée par le peuple est le critère équitable des droits de l’homme. »
Dans chaque pays, c’est le peuple qui demande et réalise les droits de l’homme. C’est encore lui qui juge et apprécie la valeur de l’état des droits de l’homme.
Le critère des droits de l’homme est celui qui reflète et réalise les besoins et l’aspiration du peuple aux droits de l’homme, et le critère équitable et véritable des droits de l’homme, c’est ce qui est apprécié par le peuple. Car les droits de l’homme sont les droits souverains que le peuple doit exercer dans tous les domaines de la vie sociale à commencer par la politique, l’économie, l’idéologie et la culture.
Le monde compte de nombreux pays et nations qui ont respectivement le niveau de développement et le mode de vie différents non seulement du point de vue du régime sociopolitique, mais aussi dans les domaines de l’histoire, de la coutume, de l’économie et de la culture. Dans cette condition, le critère des droits de l’homme doit être fixé en conformité avec les besoins et les aspirations du peuple et avec les réalités concrètes de chaque pays.
Il ne peut y avoir de critère adapté à tous les pays du monde. Il n’est pas contraire à l’assurance internationale des droits de l’homme que chaque pays mène ses activités avec le critère des droits de l’homme reflétant les exigences de son peuple et la situation concrète du pays. Les critères stipulés dans les dossiers internationaux sur les droits de l’homme ne sont valables que lorsqu’ils sont adaptés aux exigences du peuple et à la situation concrète de chaque pays.
Grâce à la politique des droits de l’homme reflétant exactement les exigences du peuple et la situation concrète du pays, la République populaire démocratique de Corée assure pleinement et sans discrimination à tous les membres de la société tous les droits de l’homme social : la liberté et les droits politiques, le droit au travail et au repos, le droit à l’instruction et aux soins médicaux. Le « critère des droits de l’homme » de l’Occident reflétant le point de vue impérialiste qui méprise et oppresse les autres, la loi de la jungle et la valeur de toute-puissance de l’or ne peut être appliqué en RPDC. Il est absolument impossible de tolérer l’utilisation de ce critère dans un but politique ou de le poser comme supposition du développement des relations avec la RPDC.