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La consécration juridique dans la constitution du système d’assurances démocratique des droits de l’homme en RPDC

    En septembre 1948, la constitution de la République est adoptée avec la fondation de la République populaire démocratique de Corée.

    La constitution a consacré de façon synthétique les libertés et les droits démocratiques attribués et assurés au peuple conformément à sa volonté et à son idéal par les règles juridiques sectorielles.

    En déclarant le principe de l’égalité du citoyen dans tous les domaines de la vie sociale, elle a stipulé, dans le domaine politique, le droit de vote et d’être élu, les libertés d’expression, de presse, de réunion et de manifestation, le droit de fonder des partis politiques, organisations sociales et autres et d’y adhérer ainsi que la liberté de religion et de tenir des rites religieux.

    Dans le domaine économique, elle a défini que les travailleurs ont le droit à la même rémunération pour le même travail, le droit à une assistance matérielle par le système d’assurances sociales ainsi que le droit à la gestion du commerce et de l’industrie de petite et moyenne envergure.

    Les droits dans le domaine de la vie sociale aussi y ont été définis : le droit à l’instruction par l’enseignement primaire obligatoire, dans l’école spécialisée et l’école supérieure aux frais de l’Etat, le droit au mariage et à la protection de la famille, le droit à l’inviolabilité de la personne ainsi que le droit de déposer des plaintes et de présenter des requêtes.

    En outre, la constitution a stipulé, sur le principe internationaliste, le droit des immigrés à la protection et l’égalité du citoyen appartenant à la nation minoritaire.

    Les libertés et les droits du citoyen stipulés par la constitution étaient la consécration légale de ce dont jouissait déjà le peuple coréen. C’était les droits et les libertés réels assurés politiquement par la souveraineté nationale et matériellement par les succès de la réforme économique démocratique et enfin garantis en détail par les règles sectorielles.

    L’adoption de la constitution a permis à la RPDC de résoudre le problème du droit fondamental, problème le plus important de l’assurance des droits de l’homme et de jeter la base législative capable d’instituer des règles des droits de l’homme de sorte que ceux-ci se développent avec un système cohérent.