L’histoire de la grande victoire dans la guerre en Corée est couronnée également des mérites héroïques des femmes qui se sont résolument engagées dans les combats en répondant à l’appel du Leader et ont vaillamment combattu pour sauvegarder la patrie.
Au plus fort de la guerre acharnée, les femmes coréennes n’ont pas hésité à sacrifier leur jeunesse et voire même leur vie pour le Leader, la patrie et le peuple. Et ces jours ont donné naissance à plus d’une dizaine d’héroïnes et à près de 20 000 décorées de l’Etat.
Loin de son unité dans les arrières ennemis, l’héroïne An Yong Ae n’a songé qu’au Commandement suprême même en frôlant la mort, et juste avant de rendre son dernier souffle, elle a recommandé avec ferveur de remettre sa carte du membre du Parti avec sa cotisation au Comité central du Parti. Et son univers spirituel noble se transmet à jamais cœur à cœur dans le peuple coréen avec une appellation de haute valeur une véritable fille du Parti.
L’héroïne Jo Sun Ok, âgée de 21 ans, simple infirmière, a détruit le char ennemi en se faisant bombe et en laissant derrière elle le cri de « Vive le Général Kim Il Sung ! ». Son âme vit toujours dans la chanson « La Belle », préférée par le peuple coréen.
L’héroïne T
Fidèles aux instructions du Président Kim Il Sung d’organiser les équipages de chars avec les femmes, les jeunes soldates, qui servaient avant comme conductrices ou infirmières, se sont hardiment mises à l’œuvre pour maîtriser le mécanisme de char si difficile et si compliqué dans quelques mois seulement pour réaliser de brillants exploits militaires à la tête des unités en bataille.
L’esprit de combat inflexible de Jo Ok Hui, toute première héroïne de la République, est gravé de façon frappante dans l’histoire de la patrie. Présidente de l’Union des femmes de l’arrondissement de Pyoksong, elle a combattu dans la troupe de guérilla populaire de Jinamsan jusqu’à ce qu’elle tombait entre les mains des ennemis, mais n’a pas fléchi ses genoux et a suffisamment montré aux ennemis de quel bois se chauffent les femmes coréennes.
La lutte pleine d’abnégation des femmes pour la victoire dans la guerre était menée également dans les arrières.
Les femmes dans les arrières se sont engagées comme une seule femme à l’assistance au front bravant les flammes de guerre. Faute de l’électricité, elles ont tourné aux mains nues les courroies des machines et tiré les charrues par les épaules.
Parmi elles, il y a l’héroïne Sin Po Hyang de la fabrique de machines de Rakwon(d’alors) qui a rassuré le Président Kim Il Sung en lui disant que la reconstruction ne poserait pas de problème, pourvu que l’on gagne la guerre.
Par ailleurs, en suivant derrière l’héroïne Kim Rak Hui, pionnière du mouvement des femmes laboureurs de masse, de nombreuses femmes ont dynamiquement travaillé à accroître la production céréalière au temps de guerre et semé les graines en ne laissant pas un seul pouce de terrain en friche.
Leur seul souhait était la victoire dans la guerre, et c’était pour cela que les femmes de tout le pays se sont serrées leurs ceintures et ont mené les travaux patriotiques pour faire don d’avions, chars et navires appelés sous le nom de l’« Union des femmes », de la « Mère » qui ont infligé aux agresseurs les coups impitoyables dans les champs de batailles.
Plus tard, le Président Kim Il Sung a hautement apprécié le rôle joué par les femmes dans la guerre de Libération de la patrie et attribué aux Coréennes le glorieux titre de « femmes héroïques », « unité intrépide ayant une grande capacité d’action, inédite dans aucun pays » du monde.