Insérez les mots-clés Lettre interdit
Le socialisme est une société où tout est au service des masses populaires

    Le Dirigeant Kim Jong Il a dit :

    « La valeur essentielle du socialisme réside en ce qu’il destine tout au service des masses populaires. »

    Tout est au service des masses populaires, c’est-à-dire que toutes les activités du parti et de l’Etat ont pour but d’assurer aux masses populaires les libertés et les droits authentiques, et une vie aisée et civilisée.

    Dans la société capitaliste, l’Etat ne se charge pas de la vie du peuple. Les masses travailleuses, privées des libertés et des droits élémentaires, y subissent toute sorte d’humiliation et de mépris inhumains. Au contraire, dans la société socialiste, toutes les activités du parti et de l’Etat se déploient de sorte qu’elles assurent sur tous les plans aux masses populaires les libertés et les droits authentiques et une vie indépendante et créatrice conforme aux besoins intrinsèques de l’homme.

    Voyons d’abord comment les activités de l’Etat et du parti assurent-elles dans la société socialiste les libertés et les droits authentiques aux masses populaires.

    Assurer effectivement aux masses populaires les libertés et les droits authentiques, c’est un problème important à résoudre pour réaliser les besoins intrinsèques de l’homme, être social. Le droit indépendant est vital pour l’être social qu’est l’homme. Ce n’est qu’avec le droit indépendant que l’homme, dans la société, peut occuper la position de maître, jouer un rôle de maître et mener une vie digne de l’homme. Celui qui ne dispose pas de droit indépendant est comme la mort en tant qu’être social même s’il est vivant. Pour cette raison, le droit indépendant est on ne peut plus précieux pour un être social qui considère l’indépendance comme la vie.

    Les libertés et les droits authentiques ne sont pas assurés aux masses populaires dans toutes les sociétés.

    C’est seulement dans la société socialiste qu’ils sont assurés aux masses populaires grâce à la direction et aux soins du parti et de l’Etat. Dans la société socialiste, toutes les activités du parti et de l’Etat destinent aux libertés et aux droits des masses populaires. Le parti et l’Etat se font une règle de fer d’élaborer la ligne de conduite et la politique en reflétant les aspirations et les besoins souverains des masses populaires et de les exécuter en fonction de leurs intérêts. Les conditions juridiques et sociales y sont assurées suffisamment pour que les membres de la société jouissent d’une vie politique et organisationnelle et participent librement à la gestion de l’Etat et aux activités sociopolitiques. Ainsi, dans la société socialiste, à travers la vie politique socialiste, tous les gens jouissent effectivement des libertés et des droits politiques authentiques et mènent une vie digne de l’homme en faisant honneur à leur vie politique, entourés de la confiance et de l’amour de la collectivité.

    Mais dans la société capitaliste, les masses populaires, privées des libertés et des droits politiques, ne peuvent pas jouir d’une vie digne de l’homme, leur dignité et leur personnalité y étant impitoyablement bafouées par les privilèges et l’arbitraire du capital.

    Dans la société capitaliste, la politique est adoptée et exécutée selon la volonté de la classe dominante à qui seulement sont assurés les libertés et les droits. Par moyen des appareils d’oppression réactionnaires et antipopulaires, la classe capitaliste empêche les masses populaires d’élire leurs délégués authentiques ; elle fait tout son possible pour duper et acheter les masses de façon à élire des valets du capital à l’organisme gouvernemental. On peut le savoir bien par le fait qu’au cours de plusieurs centaines de l’histoire du régime parlementaire bourgeois, il n’y a pas le cas où le délégué des masses travailleuses est élu parlementaire ou fonctionnaire de l’organisme de l’Etat.

    Ce n’est que dans la société socialiste que les masses populaires peuvent jouir des libertés et des droits réels et mener une vie digne de l’homme, car toutes les activités de l’Etat et du parti y sont à leur service.

    Voyons ensuite comment les activités de l’Etat et du parti assurent-elles dans la société socialiste une vie aisée et civilisée aux masses populaires.

    Vivre heureux sans aucun souci à se faire en jouissant d’une vie aisée et civilisée, exempte de contrainte de la nature, ce sont les besoins intrinsèques de l’homme et le vœu d’antan des masses populaires.

    Une vie aisée et civilisée, conforme aux besoins intrinsèques de l’homme, ne peut être réalisée que dans la société socialiste où le parti et l’Etat répondent des conditions de vie du peuple sous leur propre responsabilité.

    Dans la société socialiste, le parti et l’Etat assurent à la population toutes les conditions nécessaires à la vie : nourriture, habillement et logement. Ils assurent aux travailleurs le droit et les conditions de travail de telle sorte qu’ils participent selon leur capacité et aptitude au travail créateur pour la société et eux-mêmes ; ils élaborent la politique et la mettent à l’exécution de sorte qu’ils soient rémunérés suivant la quantité et la qualité du travail fourni. Le système d’assurance sociale, le système de sécurité sociale, le système de repos et de convalescence et d’autres mesures populaires variées étant appliquées aux frais de l’Etat et de la société, toute la population y jouit d’une vie heureuse, entourée des sollicitudes du parti et de l’Etat. C’est impensable dans la société capitaliste reposant sur la propriété privée et marquée de la loi de la jungle.

    Dans la société capitaliste, les masses populaires, objet de mépris et d’humiliation inhumains, sont forcées au travail dur destiné au profit des capitalistes et les richesses, résultat de leur travail, tombent entre les mains des capitalistes. D’innombrables chômeurs privés du droit au travail, celui élémentaire de l’homme, y existent en permanence.

    En réalité, aujourd’hui, dans la société capitaliste, la plupart des travailleurs tombent de plus en plus dans le chômage et la misère et leur situation se détériorent de jour en jour.

    Les travailleurs ne peuvent jouir d’une vie indépendante et créatrice que sous le régime socialiste où toutes les activités du parti et de l’Etat sont au service des masses populaires de façon à leur assurer une vie aisée et civilisée.