On entend par là que l’homme est le maître à la fois des richesses sociales et des rapports sociaux.
Selon le Dirigeant Kim Jong Il, la société est composée de l’homme, des richesses sociales qu’il a créées et des rapports sociaux qui les rallient; parmi ces composants, c’est l’homme qui est le maître.
La société est la collectivité des hommes. En dehors de l’homme, on ne peut pas parler de la société. Pourtant cela ne signifie pas que la société n’est composée que de l’homme. Comme il a été déjà dit, la société est composée de l’homme, des richesses sociales qu’il a créées et des rapports sociaux qui les rallient. Là, c’est en tout cas l’homme qui est le maître. Parce que les richesses sociales et les rapports sociaux composant la société sont dûs de toute façon à l’homme et que c’est lui qui les utilise et modifie.
L’homme est le maître des richesses sociales. Cela s’exprime par le fait que les richesses sociales sont créées par l’homme et qu’elles sont à son service.
Toutes les richesses sociales, sans exception, sont créées par l’homme. Il est vrai que les machines, les équipements et d’autres moyens matériels et techniques jouent un rôle important dans la création des richesses sociales par l’homme. Les moyens matériels et techniques, selon le niveau de leur développement, arrivent à remplacer les forces physiques ou spirituelles de l’homme dans la création des richesses sociales. Mais tous les moyens matériels et techniques sont créés et manipulés par l’homme; ils sont utilisés selon sa volonté pour la création des richesses sociales.
D’ailleurs, les richesses sociales ne sont valables que lorsqu’elles sont au service de l’homme. Elles sont nécessaires pour lui. La valeur des richesses sociales est déterminée par rapport au service qu’elles lui donnent.
Dans ce sens nous disons que l’homme est le maître des richesses sociales.
L’homme est également le maître des rapports sociaux. C’est lui qui les noue, les modifie et développe. L’homme noue les rapports sociaux de façon active dans l’intention de créer les richesses sociales nécessaires à son existence et à son développement et de les utiliser de façon rationnelle. Le caractère des rapports sociaux dépend des besoins et des capacités des hommes de la société en question. En fonction de l’accroissement incessant de ses exigences et de sa volonté, l’homme améliore sans discontinuer les rapports sociaux. Plus s’accroissent ses exigences indépendantes et ses capacités créatrices, plus les rapports sociaux se montrent progressistes. Puisque c’est l’homme qui demande les rapports sociaux, les noue et développe, ce n’est que lui qui est le maître des rapports sociaux.