Par droits de l’homme on entend les droits sacrés de l’homme social qui cherche à vivre et à se développer en toute indépendance et de façon créatrice. Ce sont les masses populaires qui les incarnent réellement.
Le grand Dirigeant Kim Jong Il a dit :
« Les droits de l’homme ne sont véritables que lorsque les masses populaires en jouissent réellement. »
Si les masses populaires incarnent réellement les droits de l’homme, c’est qu’elles les demandent et réalisent.
Les masses populaires représentent une communauté sociale formée de travailleurs sur la base de l’identité des exigences souveraines et des activités créatrices. Les exigences intrinsèques de l’homme aspirant à vivre et à se développer en toute indépendance et de façon créatrice sont liées directement aux exigences des masses populaires et se réalisent par la lutte de celles-ci.
Comme le montre l’histoire, tous les droits obtenus par les masses populaires aux différentes époques sont le résultat de leur lutte sanglante de longue durée menée suivant leurs aspirations et exigences.
Les droits qui ne se réalisent pas par leur lutte suivant leurs besoins ne peuvent pas être authentiques.
Si les masses populaires incarnent réellement les droits de l’homme, cela tient aussi au fait que seuls leurs droits représentent les droits de l’homme dans un vrai sens.
La question de savoir quels sont les droits de l’homme authentiques parmi les droits reconnus et prétendus par telles ou telles classes ou collectivités sociales dépend principalement de la façon dont ils reflètent et réalisent les exigences communes de la collectivité sociale et celles des individus.
Les exigences des masses populaires formant la collectivité sociale représentent les exigences communes de la société et conviennent à celles de chaque individu de la collectivité sociale.
En fin de compte, les droits de l’homme proposés et réalisés suivant les exigences des masses populaires deviennent les droits de l’homme authentiques, car ils réalisent à la fois les exigences de la collectivité sociale et celles des individus qui forment la collectivité.
La collectivité réactionnaire est formée de classes exploiteuses qui violent la souveraineté des masses populaires et qui ne recherchent que les intérêts personnels. Les exigences proposées par les classes exploiteuses au nom des « droits de l’homme » sont antipopulaires, car tout à fait contradictoires aux exigences communes de la société et foulant aux pieds les exigences souveraines des individus.
La classe exploiteuse et les droits de l’homme sont incompatibles l’un avec l’autre.