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L’ennemi est allé jusqu’à lui enlever les yeux. Alors qu’elle allait périr, elle a crié, ligotée et aveuglée : « Je n’ai plus mes yeux, mais je vois venir le triomphe de la révolution ! »
Effrayé par son esprit indomptable, l’ennemi a perpétré la pire barbarie qui soit : il lui a arraché même le cœur.
Les dernières paroles de la combattante résolue, pleines de fierté de révolutionnaire, tous ne peuvent évidemment pas en faire autant. Le peuvent seuls ceux qui croient fermement en la justesse et la pertinence de leur cause ; seuls les combattants inébranlables dans leur foi peuvent prononcer des mots d’un sens profond. C’est là le bilan de la vie de C
Ses paroles reflètent la volonté de fer et la foi inébranlable des communistes coréens.