A l’heure actuelle, sur la scène internationale circule l’opinion selon laquelle les droits de l’homme sont sur l’autorité nationale, opinion professée par les Etats-Unis et certains autres pays occidentaux qui tentent de justifier leurs immixtions dans les affaires intérieures perpétrées sous le couvert de « défense des droits de l’homme ».
Les droits de l’homme et l’autorité nationale, ce ne sont pas simplement le problème théorique et professionnel. Ce sont un problème sérieux d’ordre politique et juridique touchant au sort des Etats souverains ; ce sont un des très importants problèmes théoriques et pratiques se posant pour briser les manœuvres de « défense des droits de l’homme » des forces de domination, défendre la souveraineté des pays et nations et résoudre correctement le problème des droits de l’homme.
Le Dirigeant Kim Jong Il a dit :
« Or, les droits de l’homme sont inconcevables en dehors de la souveraineté nationale. Dans un pays sous domination étrangère, le peuple ne peut jamais jouir des droits de l’homme. »
Les droits de l’homme, cela revient à l’autorité nationale. C’est dans le cadre de la nation ou de l’Etat que les peuples réalisent leurs exigences souveraines. Les peuples de tous les pays du monde exercent les droits de l’homme visant à réaliser leurs aspirations souveraines dans leurs pays et sous la garantie institutionnelle et juridique de l’Etat. Cela signifie que les droits de l’homme sont assurés et garantis en vertu de la souveraineté de chaque pays ou nation, et non par les ingérences ou par l’admonestation d’un autre pays étranger ou d’une organisation internationale.
Au cas où un pays perdrait sa souveraineté nationale, ce ne sera qu’une discussion inutile de raisonner les droits de l’homme du peuple de ce pays.
Autrefois, privé de son pays par les impérialistes japonais, le peuple coréen était forcé au sort tragique qui ne vaut pas mieux que des c
La perte de la souveraineté, c’est la perte des droits de l’homme. A preuve les actes de violation des droits de l’homme perpétrés ou causés ces dernières années par les forces de domination à l’Irak et dans plusieurs autres pays.
Dans le monde d’aujourd’hui comme par le passé, on ne connaît pas l’exemple des droits de l’homme effectivement assurés aux peuples en dehors de la souveraineté nationale. Dans le monde il y a des pays grands ou petits, des pays développés ou sous-développés, mais il n’y a pas de pays désignés ayant le droit de violer ou d’usurper la souveraineté d’autres pays. Tous les pays ont le droit de souveraineté d’égal à égal, et la souveraineté est un droit absolu inaliénable pour tout pays.
La violation de la souveraineté d’un autre pays et l’ingérence dans ses affaires intérieures perpétrées sous le couvert de « défense des droits de l’homme », ce sont la transgression impitoyable de la souveraineté de ce pays et la violation des droits de l’homme de son peuple. Plus loin, de tels actes entraîneront la destruction grave de la paix et de la sécurité du monde, conséquences tragiques.
Pour chaque pays, le régime politique, l’élaboration de la politique et son application, la constitution de l’organisme étatique et ses activités, les relations extérieures, etc. appartiennent à ses affaires intérieures. Il en est de même pour la politique, le régime et les mesures concernant l’assurance des droits de l’homme de chaque pays.
Les droits de l’homme sont entièrement des affaires intérieures ; ils méritent leur valeur dans les conditions où est garantie l’autorité nationale. Ils ne peuvent pas être l’objet de l’ingérence dans les affaires intérieures ni le moyen de la justifier.
Le « rapport des droits de l’homme » publié annuellement par le département d’Etat américain est un document de provocation politique scélérate qui diffame et profane d’autres pays avec un « critère des droits de l’homme » basé sur la valeur à l’américaine. C’est le prélude de l’agression des autres pays et de l’immixtion dans leurs affaires intérieures. C’est pourquoi, il faut redoubler de vigilance envers les actes d’ingérence dans les affaires intérieures commis par un pays ou par une organisation internationale sous le couvert de « défense des droits de l’homme » sans les jamais tolérer.
Ces années-ci, les Etats-Unis et les forces à leur remorque déchaînent une campagne des droits de l’homme plus abominable que jamais contre notre République. De par sa nature, cette campagne vise à effondrer sous prétexte de « défense des droits de l’homme » notre régime socialiste axé sur les masses populaires. Mais quelque injurieux que soient la calomnie et la diffamation auxquelles ils se livrent, ils ne peuvent jamais effondrer notre régime socialiste où sont assurés parfaitement les droits de l’homme.
Notre République pour qui les droits de l’homme sont l’autorité nationale repoussera péremptoirement la campagne des droits de l’homme lancée contre elle par les Etats-Unis et les forces à leur remorque, défendra jalousement la souveraineté du pays et de la nation et consolidera encore davantage son régime socialiste qui assure et garantit effectivement au peuple les droits de l’homme authentiques.