Le Dirigeant Kim Jong Il a dit :
« Le sens de la liberté est l’attribut de l’homme qui cherche à vivre et à évoluer en toute indépendante en maître du monde et de son destin. »
Le sens de la liberté est propre au maître digne. C’est-à-dire, il est l’attribut de l’homme qui cherche à devenir le maître de tout, à vivre et à évoluer en maître de la nature, de la société et de soi-même.
Il est d’abord l’attribut de l’homme qui cherche à vivre et à évoluer en toute liberté en s’opposant aux entraves et à l’asservissement de toutes sortes.
Un des attributs essentiels de l’homme est de vivre en toute liberté en se débarrassant de tout asservissement. L’animal vit en se soumettant et en s’adaptant à la nature. Tandis que l’homme n’accepte jamais les entraves et asservissements de toutes sortes et mène ses activités incessantes pour en débarrasser entièrement.
L’homme ne vit pas tout simplement en victime des calamités naturelles, acceptant telles quelles les actions des environnements naturels comme la sécheresse, l’inondation, le typhon, le tremblement de terre, etc., qui apportent le désastre à sa vie et à son destin, mais il accorde des efforts incessants pour se débarrasser des entraves de la nature. Et sur le plan social, tant qu’existe l’asservissement social, il mène une lutte courageuse pour s’en débarrasser, car il n’aime pas se soumettre à l’autrui.
Le sens de la liberté est ensuite l’attribut de l’homme qui cherche à mettre tout à son service.
Les efforts de l’homme qui s’oppose aux entraves et à l’asservissement de toutes sortes ne visent pas tout simplement à vivre en toute liberté. L’homme ne s’arrête pas à enlever les facteurs naturels et sociaux qui sont néfastes à son existence et à son développement, mais il continue ses efforts pour maîtriser selon sa propre volonté le monde environnant.
En conquérant la nature, il en fait les conditions et circonstances favorables à sa vie, et transforme les choses et phénomènes de la nature pour en faire les moyens utiles à sa vie. Il modifie selon sa volonté et ses exigences les rapports sociaux défavorables pour en faire les circonstances sociales en faveur de sa vie et de son développement. Les telles actions de l’homme, s’opposant aux entraves et asservissements de tout acabit et mettant à son service la nature et la société, ne sont jamais contingentes ni temporaires, mais nécessaires et perpétuelles.